Lorsque j’ai confessé à mes amis que j’avais participé à un cours de cuisine à Besançon, ils m’ont observé comme si j’avais un troisième oeil. Et je ne peux même pas leur en vouloir, vu qu’ils me connaissent depuis pas mal d’années. Quand je pense qu’il n’y a encore pas si longtemps, la cuisine m’apparaissait comme quelque chose de vain. Je ne pigeais pas pour quelle raison certaines personnes se fatiguent pendant des heures pour un résultat qui se mange en définitive leur plat en quelques minutes. Ça me dépassait totalement. Et puis, histoire de ne pas mourir idiot, j’ai voulu m’y mettre. Je voulais saisir ce qui pouvait bien les tenter autant de personnes à exercer cette occupation. Et à mon tour j’ai vraiment compris. J’ai compris le pouvoir de séduction de la cuisine. On se laisse vite prendre au jeu. Au début, on suit les dosages très scrupuleusement. Pour ensuite se laisser guider par son instinct. Aujourd’hui, je l’admets : j’adore la cuisine. Cela m’apaise, lorsque j’éprouve l’envie de mettre mon cerveau sur off. J’aime ce côté manuel où l’on se concentre sur des détails. J’aime le fait de me laisser porter par mes passions du moment. Cette ardeur a pris tellement de place que je regarde même régulièrement les émissions de téléréalité dédiées à la cuisine. Elles me donnent chaque fois de nouvelles idées de recettes. Je fantasme alors des plats formidables. S’ils s’avèrent rarement réussis, peu importe. Préparer un bon plat n’est en réalité qu’une façon de se justifier. Ce qui importe vraiment, c’est de savourer le chemin qui y mène. Bref, si vous vous tâtez à prendre un cours de cuisine, je vous conseille de tenter l’expérience. Nous étions seulement 5 à suivre le cours et nous avons donc pu bénéficier d’un atelier presque particulier. Si vous voulez en savoir davantage, voilà le descriptif du cours de cuisine que j’ai fait là-bas. Retrouvez plus de renseignements sur l’organisateur de cette activité de cours de cuisine à Tours.